TEATRO DEL INSTITUT FRANÇAIS DE MADRID (C/ Marqués de la Ensenada, 10 - 28004 Madrid)
21 mars 2018, 19:00

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L’action des gouvernements et les engagements non respectés ont été au cœur du débat. Les participants ont dénoncé les manquements répétitifs aux accords internationaux, lesquels sont tardifs et insuffisants.

D’où le besoin, et c’est une des batailles de la Fondation pour la Nature et l’Homme, que les traités de nouvelle génération tels que l’Accord Economique et Commercial que l’Union Européenne a signé avec le Canada (AECG, pour son acronyme en Anglais) ou celui que l’UE prépare elle-même avec Singapour, soient soumis à l’impératif climatique.

« Le changement climatique est probablement le plus gros problème de l’humanité », a reconnu Jesús Calleja, « et nous ne lui accordons pas suffisamment d’importance. Il en est de même pour la biodiversité. » « Quand nous parlons de la destruction de la biodiversité, nous parlons de la destruction de l’Humanité », a ajouté Audrey Pulvar. « Le changement climatique, c’est aujourd’hui ! Cela n’arrivera pas dans 150 ans, mais bien aujourd’hui, et cela concerne le monde entier », a-t-elle insité.

C’est ainsi que s’est déroulé le débat, entre la dénonce, le pessimisme et les appels à l’action. Peut-être parce que la modératrice a exprimé sa crainte que les messages apocalyptiques, loin d’activer la citoyenneté, puissent la paralyser, la réunion s’est terminée sur un triple message d’optimisme: Audrey Pulvar a encouragé le public à exercer sa responsabilité civique; Jesús Calleja a demandé l’engagement des jeunes et Mercedes Milá a dit être confiante.

Participants :

Audrey Pulvar Presidenta de la Fondation pour la Nature et l’Homme
Jesús Calleja Alpinista y explorador

Modération par :

Mercedes Milá Periodista

Organisé par :

Avec la collaboration de :
Avec le soutien de :
Vidéos :
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